Wonder Woman : pitain c’est du bon


Paris by Night, pour Vampire la Mascarade

Paris by night

Depuis quelques années, les licences Marvel et DC se battent pour nous sortir de superbes films sur nos super-héros préférés.

Le dernier en date, Wonder Woman est un véritable petit bijou, où histoire, héroïsme, humanisme et humour font bon ménage. Ajouter à cela une Wonder Woman incarnée par Gal Gadot, qui campe bien le personnage, et la légende prend corps.

Vous l’aurez compris, j’ai adoré Wonder Woman, et je compte bien vous convaincre d’en faire autant.

Pour l’histoire

Si l’introduction se fait à notre époque, le film se déroule lors de la Grande Guerre, alors que l’Allemagne veut négocier sa capitulation. Nous y retrouvons l’horreur des tranchées, le bouleversement de la vie civile, la boucherie de masse et la bestialité des hommes.

C’est glauque, sombre et malsain. Pourtant, les images sur la guerre en elle-même sont relativement rares, mais elles sont choquantes et percutantes.

 

 

De l’héroïsme

Wonder Woman étant avant-tout un film d’action, les scènes de ce type y sont nombreuses : ça tire et ça explose à tout-va, ça bastonne encore plus et il y a quelques cascades bien senties.

Mais plus que de l’action, c’est d’un souffle d’héroïsme dont il est question dans le film : sacrifice de soi, défense de ses valeurs, courage et grandeur d’âme.

C’est beau, c’est bon et ça fait du bien par les temps qui courent.

L’humanisme est à l’honneur

Le cœur des hommes est au centre de l’histoire de Wonder Woman. On y parle de noirceur, de colère, de douleur, mais aussi d’amour, d’amitié et de rédemption.

Les blessures de la vie et de la guerre y sont également présentes, et marquent la personnalité de certains personnages.

 

Une équipe de choc

 

De l’humour

Pour alléger l’ambiance de plomb, le film est saupoudré d’humour. Le décalage entre la vie de Diana sur son île et sa confrontation au monde des hommes est propice à cet humour. Mais ce n’est pas la seule excuse et il y a des réflexions bien senties entre les différents protagonistes.

C’est drôle, avec une juste limite.

La légende

Wonder Woman puise son histoire dans les mythes et légendes. Arès, le dieu de la guerre, est responsable de la corruption du cœur des hommes. Les amazones guettent le retour de ce dernier, car elles sont chargées de l’empêcher de nuire de nouveau grâce à une épée confiée par Zeus.

Diana, princesse des amazones, va grandir à l’abri de l’humanité sur son île, jusqu’à sa rencontre avec Steve Trevor, qui l’emmènera jusqu’au monde des hommes.

Ainsi commencera la légende de Wonder Woman.

Et croyez-moi, je ne vous ai pas tout dit, le film vous réserve encore plein d’autres surprises.


Paris by Night, pour Vampire la Mascarade

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